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Passiflore Editions
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Les mots d'adieu publiés par Aurélien sur ses réseaux sociaux, juste avant qu'il ne se suicide, ont immédiatement créé un séisme au-delà des frontières, comme un message universel. Sa parole bienveillante et fédératrice, ensemençant l'amour dans toutes les langues du monde, est aujourd'hui prolongée par son frère dans ce récit comme un combat.
Épauler des toxicomanes, des jeunes qui peinent à assumer leur sexualité, des parents perdus ou endeuillés est devenu un devoir peut-être illusoire mais obsessionnel dans cette écriture précipitée pour que chaque mot soit puisé dans le vif de l'instant. Ne rien oublier. Raconter urgemment à deux, le disparu et son restant, que la vie est belle même écourtée. On rit, on pleure, on vit, on meurt.
Un témoignage bouleversant qui livre avec beaucoup de poésie et de franchise toutes les larmes mais aussi les fureurs, regrets et même les rires du deuil d'un être aimé. -
« Eux ce sont les gras. Le terme désigne tant les chiens que les gardes. Nous avons pour eux le même jargon, la même haine. Certains courent à quatre pattes, d'autres sur deux jambes, c'est toujours après nous. »
Dans l'usine où Xiao Mi travaille, les maigres sont nombreux ; des enfants volés qui produisent douze heures par jour des coques de téléphones à moindre coût. À vingt-sept ans, il sera libre. Il en a quatorze.
L'autre voix, c'est celle d'un père au coeur arraché qui sillonne la Chine depuis huit ans, ville après ville, usine après usine, à la recherche de son fils kidnappé. -
Que reste-t-il de l'héritage idéologique que notre famille nous transmet ? Tony a passé sa petite enfance avec ses grands-parents maternels, depuis longtemps revenus de leur splendeur d'Indochine.
Dans la grande maison de Bon-Encontre, pas loin d'Agen même, nems aux crevettes et « Touche pas à ma France » sont au menu.
Dans ce récit gorgé d'affection et d'amertume, l'auteur questionne les silences du petit garçon qu'il fut auprès d'un grand-père griot devenu frontiste quand il a perdu le sens des affaires. Un grand-père qui lui a appris à lire en faisant le récit, trop beau pour être vrai, de « sa » France et de ses chefs glorieux, de Vercingétorix à Napoléon. -
Qui sont-ils, ces êtres de plumes, de poils et d'écailles, ces corps étrangers que nous apercevons souvent furtivement?? Ils habitent avec nous cette terre et sans eux nous savons aujourd'hui que nous ne pourrions pas continuer à vivre. Qu'ils soient sauvages ou apprivoisés, exotiques ou familiers, ils sont faits du même tissu que nous, partagent le même souffle de vie.
Chantal Detcherry se remémore ces nombreux moments où sa route a croisé celle d'un animal. Souvenirs d'enfance ou de voyages s'entrelacent dans ces récits où, du plus petit au plus grand, de l'insecte à l'éléphant, les animaux constituent le centre de la narration. Tour à tour poétiques ou touchantes, humoristiques ou mystérieuses, ces histoires nous incitent à ouvrir sans préjugés notre regard sur eux, à nous émerveiller de leur présence, à réfléchir à une place plus respectueuse et plus douce de l'homme à leurs côtés.