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En 1902, Vladimir Arseniev, chef d'une expédition d'exploration de l'extrême-est sibérien nouvellement cédé par la Chine à la Russie, croise un vieux chasseur nommé Dersou Ouzala qui accepte de le guider à travers la taïga sauvage. Avant de devenir cinquante ans après le célèbre film d'Akira Kurosawa,Dersou Ouzala était ce livre, récit d'aventures et d'amitié, hymne à la nature et à l'homme.
Traduction de Pierre P. Wolkonsky, 1939.
EXTRAIT
Au cours de l'année 1902, lors d'une mission que j'accomplissais à la tête d'une équipe de chasseurs, je remontais la rivière Tzimou-khé qui se jette dans la baie de l'Oussouri, près du village de Chkotovo. Mon convoi se composait de six tireurs sibériens et comportait quatre chevaux chargés de bagages. L'objet de cette mission était l'étude pour les services de l'armée de la région de Chkotovo et l'exploration des cols du massif montagneux du Da-dian-chan1 où prennent leurs sources quatre fleuves : le Tzimou, le Maï-khé, la Daoubi-khé et le Léfou. Je devais ensuite relever toutes les pistes avoisinant le lac de Hanka et le chemin de fer de l'Oussouri.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Vladimir Klavdievitch Arseniev né à Saint-Pétersbourg, sous l'Empire russe, le 29 août 1872 et mort le 4 septembre 1930 à Vladivostok, est un officier-topographe de l'armée russe, explorateur de la Sibérie orientale (appelée aussi « Extrême-Orient russe »). -
Le 27 mars 1926, le supplément littéraire du Figaro publie un extrait de Chalet 1 que les lecteurs découvrent ainsi en avant-première : « Sous ce titre, M. André Baillon va faire paraître, chez les éditeurs Rieder & Cie, un roman qui est un peu la suite d'un Homme si simple. Il fait défiler devant nos yeux, dans ce livre, toutes les figures qu'il a rencontrées durant les mois douloureux qu'il a passés là-bas, malades, médecins, infirmières, visiteurs. » Par ce livre « étrangement émouvant », Henry Bidou semble avoir été bouleversé, à en croire son article de La Revue de Paris : « ce récit sans ornements et sans phrases est un des plus poignants qu'on puisse lire. Le peuple de ces êtres puérils, diminués, instinctifs, chimériques, tantôt isolés, tantôt réunis en un seul être collectif, forme un tableau saisissant. [...] Drames naissants, ruses, machines, humeurs subites, affolements, toute l'humanité est dans ce petit livre. Pour connaître les hommes, regardez les fous. »
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Des grains, ces îles minuscules dans l'océan, des grains, ces textes qui ont germé avant de s'épanouir en mots imprimés, des grains, ces notations brèves sur des moments fugitifs, ces petites choses peu encombrantes, mais qui se rappellent à votre souvenir, sable sous la dent du lecteur. Spécialiste des îles d'Aran (au large de l'Irlande), Dominique Beugras a déjà réalisé Les îles d'Aran, le voyage vers l'Ouest, une anthologie cousue main et traduite par elle.
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L'Inde au pied nu est la suite de L'Art de la pointe. C'est à la fois un journal de voyage, un essai, un poème, une flânerie, un objet assez peu définissable qu'on a envie de prendre dans sa besace, comme chaque fois que l'écriture virtuose se plaît à brouiller les pistes.