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Ancre de Marine Editions
-
Ciel ! mon mari veut naviguer!
Christine de Bonvillier
- Ancre de Marine Editions
- 13 Janvier 2020
- 9782841413515
Quand une Ardéchoise épouse un Breton...
Cela donne : une Echappée Belle ( c'est le nom du bateau), deux beaux enfants, un grand voyage et...un livre plein d'humour.
Un couple se jette à l'eau : c'est décidé, on part...
Mais avant de larguer les amarres, il faut construire le voilier de ses rêves ( ceux du mari ) et affronter l'idée de couper le cordon avec la terre ferme. Pour un an.
Christine de Bonviller jette le regard faussement naïf d'une débutante sur les mille et un avatars d'une croisière transatlantique.
Sa plume tendre et moqueuse raille gentiment les déboires de l'équipage familial.
Mais elle trace aussi un passionnant journal de bord, riche d'une sensibilité neuve aux paysages marins, aux rencontres des escales, à la vie intense et libre des voyageurs du vent.
La verve de conteuse de Christine de Bonviller produit un récit captivant, qui se lit d'une seule traite avec un grand bonheur. -
Un angle parfaitement original : le récit classique de navigation au grand large, avec ses épisodes haletants, sert d'arrière-plan à des escales mouvementées, des confrontations musclées avec des voleurs de voilier, de déboires tordus - et amusants - avec les mauvais payeurs de la voile en charter.
Cahier de photographies « vintage ». Elles rappellent l'époque où le yachting devenait la plaisance.
Après quelques souvenirs très vifs de l'occupation de 1940 à 1944 et de la Résistance, nous abordons le vif du sujet, en commençant par « l'appel du large », à douze ans.
Le chapitre Raid sur Skidad évoque la récupération manu militari de Babeth, le voilier d'un ami pied-noir que les récentes autorités algériennes de Philippeville escomptaient récupérer frauduleusement.
Piratages. Après la descente de Camaret à Lisbonne, émaillée de force incidents, du Sea Bird Mariara, le voilier est volé à Cadix où il avait été laissé en garde. Repéré quelque temps après dans un port du Maroc, il est « piraté » par notre équipe musclée.
Grandes vacances. C'est mon « adieu aux armes »; après onze ans de service dans les unités parachutistes et l'aviation de l'Armée de Terre, je choisis la voile au Club Méditerranée. Expériences intéressantes sur de grands catamarans et Dogres des Glénans. Et aussi, le chemin que j'avais choisi pour reprendre contact avec la vie civile sous ses dehors les plus aimables.
Comment ne pas monter un entreprise de location de voilier, conte mon expérience et mes déconvenues dans cette activité en Corse, lorsque je fais confiance à quelqu'un, qui n'était pas corse, et ne la méritait pas. Une récupération musclée adaptée aux circonstances mettra fin à ces déboires.
Boutres d'Arabie. Durant une mission de deux ans des plus intéressantes en Arabie Saoudite, je profite de mes loisirs pour naviguer sur les boutres, chasser le requin en apnée, et construire un trimaran de ma conception.
Officier parachutiste, ancien pilote militaire, délégué en mission spéciale par le ministère des Armées Gérard Contard a connu la Résistance, navigué sur des boutres en Arabie Saoudite, chassé le requin en apnée, enseigné la voile au Club Méditerranée. Aujourd'hui, homme d'affaires, il partage son temps entre la France et le Vénézuela mais n'a pas oublié l'appel du large. -
Rencontres à la fleur de sel
Laurent Cordelle
- Ancre de Marine Editions
- 27 Novembre 2020
- 9782841414529
L'auteur est une voix très connue des « voileux » par son brillant palmarès de skipper, son talent d'architecte naval, sa chronique sur les ondes de RADIO-BLEU.
Les rencontres et anecdotes rapportées dans ce livre mettent en scène tous les noms connus du grand public, toutes les « légendes de la voile et de la mer » de Tabarly à D'Aboville, de Kersauzon à Florence Arthaud voire du baron Bich à l'Aga Khan : un index très courts, très variés, de 110 récits, anecdotes tirées de rencontres avec des grands noms de la voile et de la mer, écrits par un skipper au palmarès exceptionnel.
Le livre est co-écrit par un journaliste de Voiles et Voiliers qui en fera un bel article... -
Alors que les longs périples vers l'inconnu cèdent le pas aux croisières organisées, le héros de VIVA BINGA ! apparait comme un être d'exception.
Exceptionnel, ce garçon intrépide pour qui le désir de partir a toujours prévalu sur toute autre considération. Exceptionnelles sont ses aventures, cocasses, pathétiques, tendres et
rocambolesques
, en Afrique, sur l'Atlantique Sud, au Brésil, aux Antilles.
Parti de Lille, droit ves la Croix du Sud, Jacques Boone arrive au coeur du Cameroun en proie aux violentes convulsions de l'indépendance. Planteur puis chercheur d'or, fabriquant de cercueil, il parvient, au prix de mille difficultés, à construire un voilier de 9 mètres de long. Pour le mettre à l'eau, il doit
traverser 400 kilomètres de jungle, sans route ni voie navigable.
Un voyage semé d'embûches... et d'incroyables surprises.
Ainsi, le gouvernement du Cameroun lui propose de devenir
amiral de la flotte nationale
, à bord de son
Binga
de 9 mètres, pour lancer une expédition de libération de l'archipel Fernando Poo !
Sans autre instrument qu'un compas, à la rencontre des alizés, il traverse l'Atlantique, empruntant le parcours des anciens négriers. Il se débarrasse de compagnons de bord peu recommandables et fait le trajet de Cayenne à la Martinique, accompagné d'un énorme
rat philosophe
, mais expert en navigation.
Il manque de peu une régate avec
Eric Tabarly
. Il échappe de peu à la
police britannique
pour avoir voulu piller une épave de galion, chargée d'or, au large de l'île d'Anégava.
Aux Açores, il tombe sous la coupe de la
« Veuve »
, une femme abusive qui l'entraîne à se perdre en mer à bord d'un rafiot construit par un fou et un équipage extravagant.
Les aventures du navigateur naïf vous tiendront en émoi et vous feront rire aux larmes. Certains penseront qu'elles dépassent l'imagination.
Elles sont pourtant vraies,
authentiques,
comme le grand souffle de la mer et l'appétit de vivre qui les anime.
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En 1936, Alain du Manoir embarque à bord d'un chalutier de Fécamp, le temps d'une campagne de pêche en Islande. Il ramène du grand large des pages baignées par la sombre beauté de la mer du Nord, par le danger que recèlent ses brouillards et ses coups de vent.
Un carnet de bord d'une authenticité rare, écrit d'une plume alerte, foisonnant d'anecdotes et de dialogues savoureux. Avec humour, il nous livre les déconvenus, les gaffes d'un "terrien", plongé dans un univers mouvant, découvrant une société dont les signaux et les codes, dans un premier temps, lui sont indéchiffrables. Alain du Manoir écrit à hauteur d'homme. Son récit est une extraordinaire galerie de portraits, croqués sur le vif. Portraits d'hommes pudiques dans leurs émotions, conscients de former un monde à part, profondément fiers de leur métier.
Parce qu'il sait gagner leur confiance, le "Parisien", comme l'a surnommé l'équipage, recueille les poignantes confidences, arrachées par la fatigue et la souffrance à des hommes forts, durs au mal, mais qui doutent parfois de la valeur d'une vie dévorée par le Grand Métier.
Unis par la rudesse du travail, un courage hors du commun, "Ceux des Tempêtes" n'ont pourtant rien d'enfants de choeur. Alain du Manoir dévoile aussi les querelles, voire les haines nées d'un trop long confinement, mijotant en ce vase clos du navire en pêche.
Ce témoignage reflète une rupture dans l'histoire de la Grande-Pêche. Les grands voiliers ont disparu... Les anciens en portent la tradition et parfois la nostalgie. Ceux qui incarnent la modernité sont encore mal acceptés. On lit, en filigrane, les effets d'un lointain séisme social, authentique et fort, le roman vrai d'une campagne de pêche en 1936.
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Dans la Bretagne du siècle dernier, l'île d'Ouessant - radeau de granit sur l'Océan - est une terre de légendes et de sortilèges. On y évoque les sirènes, douze vierges belles comme des anges mais perverses comme des démons, dont les chants étaient autant d'appels d'amour, propres à séduire le coeur des jeunes hommes.
On raconte aussi qu'un îlien en pêcha une dans ses filets. Cet homme était le plus fier et le plus beau des gars d'Ouessant. Elle le fit roi de la mer, les vagues lui apportaient les poissons et les épaves, les vents et les courants lui obéissaient, mais la malédiction des sirènes fut implacable et se poursuit encore sur tous les descendants.
Sur les rivages on les entend toujours, et même, par nuit claire, on peut les voir qui tordent aux rayons de la lune leurs longues chevelures ruisselantes. Et les corps des marins perdus roulent sur les lits d'algues et de sable dans les profondeurs océanes.
Des personnages extraordinaires traversent cette histoire fabuleuse. Comme Marie-Ange, la belle épouse d'un descendant du Roi de la mer, ou Nola que ceux d'Ouessant surnomment «Strew an Ankou - la mouette de la mort» et qui parle aux goélands.
Déjà les mystérieuses puissances de la tempête hurlent autour des demeures, dans le rite démoniaque des vents et de la mer. Le maléfice des Morganes s'accomplira-t-il?