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Éditions Intervalles
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Clémence, une jeune cinéaste française, part au Mozambique pour réaliser son premier documentaire. Seule, sans expérience ni budget, elle veut recueillir le témoignage de Chiliens qui, exilés de la dictature de Pinochet dans les années 1970, sont allés se mettre au service de la révolution dans cette ancienne colonie portugaise et ont participé à la construction du jeune État indépendant.
À travers le récit de cette quête parsemée d'embûches digne de Lost in la Mancha, Constance Latourte brosse un portrait haut en couleur de Maputo et du Mozambique. Elle retrace aussi l'histoire méconnue d'une génération d'idéalistes qui a fui une dictature pour traverser les rêves et les désillusions suscités par la révolution mozambicaine.
Avenida Vladimir Lénine est son premier roman.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
« un roman bien agréable sur la gestation d'un documentaire en zone si ce n'est hostile au moins difficile » Lyvres.fr
« le premier roman de Constance Latourte prend l'allure d'une leçon de vie, avec ses difficultés inattendues et ses moments d'intense joie, vécue presque aussi loin que possible de l'Europe occidentale, à la rencontre de gens et de moments passionnés. » Daniel Fattore
« la narratrice expose avec humour... les aléas de la colocation, les procédures interminables pour obtenir les autorisations de tourner, le making-off de son film et la vie quotidienne au Mozambique. » Notes bibliographiques
À PROPOS DE L'AUTEURE
Lors de recherches sociologiques réalisées au Chili en 2006, Constance Latourte effectue un travail de documentation approfondi sur la dictature de Pinochet et les trajectoires d'exil des militants de la gauche chilienne (1973-1990). Elle recueille alors le témoignage d'anciens réfugiés politiques ayant vécu au Mozambique pendant leur exil et se passionne pour ce sujet. En 2008 et 2009, elle séjourne à Maputo pour approfondir ses recherches sur le Mozambique postcolonial et part à la rencontre de ceux qui, malgré le retour de la démocratie au Chili, ont décidé de s'installer durablement dans leur pays d'accueil. Mue par le désir de faire connaître cette histoire singulière, elle réalise Khanimambo Mozambique (L'Harmattan Vidéo, 2009), un documentaire dont le tournage inspire le récit d'Avenida Vladimir Lénine. -
Les tribulations d'un opiomane (1895-1915)
James s. Lee
- Éditions Intervalles
- 10 Novembre 2015
- 9782369561194
Partez sur les traces de James S. Lee et revivez ses nombreux périples !
La plupart des écrivains voyageurs ont entendu parler de James S. Lee et de son Underworld of the East, un classique oublié de la littérature de voyage et de la « drug literature » jamais encore traduit en français. Ingénieur des mines en Asie mais né en 1872 dans le Nord de l'Angleterre victorienne, James S. Lee a attendu d'avoir 62 ans pour publier le récit (scandaleux, pour beaucoup) de ses voyages à travers le monde.
De l'Inde à l'Indonésie, de la Malaisie à Shanghai, du Brésil au Congo, des bas-fonds portuaires aux jungles tropicales les plus denses, des lupanars secrets aux fumeries d'opium souterraines, le lecteur suit cet élégant et désarmant junkie dans sa recherche effrénée d'expériences interdites.
Underworld of the East retrace l'intégralité de ces voyages à travers le monde colonial des années 1895-1915, et offre une vision particulièrement moderne du rapport à la médecine et aux cultures étrangères. Entre deux prises de stupéfiants, le narrateur du récit élabore une esquisse de testament écologique, dresse un procès impitoyable du système colonial de l'intérieur, et témoigne d'une sensibilité aux cultures étrangères particulièrement surprenante dans le Commonwealth victorien déclinant des années 1895-1915.
Un véritable carnet de voyages relatant les aventures de l'auteur à travers le monde, entre ses découvertes des empires coloniaux et sa consommation démesurée de drogues
EXTRAIT
Avant de commencer le déroulement chronologique de mon récit, je dirai quelques mots de l'usage de la drogue en général.
Au cours des vingt ans durant lesquels je prenais constamment de multiples substances, diverses personnes, y compris des médecins et des pharmaciens, m'ont demandé comment je pouvais continuer à consommer des drogues pendant si longtemps, et en si grandes quantités, tout en restant en bonne santé.
Le récit de mes expériences l'expliquera, et pourra aussi montrer l'usage de la drogue sous un angle entièrement nouveau.
Je ne prends plus aucune drogue depuis de nombreuses années, mais durant les vingt ans dont traite ce récit, j'ai fait usage de morphine, de cocaïne, de haschich, d'opium, et de bon nombre d'autres drogues, aussi bien de manière isolée qu'en association les unes avec les autres.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
- "Underworld of the East est à la fois une curiosité littéraire et un livre-culte de la littérature de voyage qui méritait d'être enfin publié en France." (Jean-Claude Perrier, Livres-Hebdo)
- "Son témoignage retrace une aventure unique, subversive et dépeignée, digne de figurer parmi les récits de voyages extraordinaires." (Eric Dussert, Le Matricule des Anges)
- "Délirantes, drôles, touchantes, voire cinglées, ses tribulations feront le délice des amateurs d'authentiques curiosités." (Nicolas Ungemuth, Le Figaro Magazine)
- "Les têtes de chapitres dégagent le parfum d'interdit et d'exotisme qui imprègnent les mémoires de James S. Lee." (François Montpezat, Les Dernières Nouvelles d'Alsace)